Homme du match : Dejan Lovren
Anthony Lopes (6) : Pas énormément de travail à réaliser, mais des sorties décisives pour préserver son but.
Saël Kumbedi (5) : Est-ce le retour sur le banc de Malo Gusto qui l’a stressé ? On n’a pas du tout revu le feu follet qui osait tout dans ce couloir droit.
Dejan Lovren (7) : Il n’a pas brillé par sa relance ou par la propreté de ses interventions. Mais il y avait toujours son pied, sa tête ou sa jambe qui traînait pour retarder l’échéance.
Castello Lukeba (5) : En comparaison avec l’expérimenté Lovren, ses erreurs et son côté chien fou se voyaient davantage.
Nicolas Tagliafico (5) : Pour un retour dans le onze titulaire, ce n’était clairement pas un niveau digne d’un champion du monde. Le retour de sa grinta est pourtant plus que nécessaire.
Maxence Caqueret (5) : Peut-être qu’un jour il sera considéré comme l’un des tous meilleurs milieux offensifs. Mais en attendant, son apport dans la surface et ses coups-de-pied-arrêtés sont encore très perfectibles. Remplacé par Jeff Reine-Adélaïde (non noté).
Thiago Mendes (5) : Ni rassurant en défense, ni utile en attaque.
Johann Lepenant (4) : Prometteur sous Peter Bosz, il a perdu confiance avec l’arrivée de Laurent Blanc. En témoigne sa prestation timide, le ballon lui brûlait les pieds. Il est jeune mais ce soir, c’était niveau Ligue 2. Remplacé par Corentin Tolisso (5), à qui il faut (encore) laisser du temps.
Tetê (3) : On connaissait Tetê Mateus. Le Brésilien avait décidé de laisser son cousin jouer ce soir, un certain Tetê Trènul, qui a raté tout ce qu’il a tenté. Remplacé par Rayan Cherki (6), qui a été plus dangereux en 20 minutes que tous ses autres partenaires en 90 minutes.
Karl Toko-Ekambi (3) : Le Camerounais n’est pas vraiment nul. C’est juste qu’on ne le voit pas. Inquiétant pour un attaquant.
Alexandre Lacazette (4) : Quand vous êtes seul en pointe avec deux ailiers inexistants et trois milieux défensifs, vous savez à l’avance que la soirée s’annonce longue, très longue…
Laurent Blanc (4) : L’entraîneur fait les bons constats sur son équipe. Mais ensuite, à lui de trouver les mots pour mobiliser ses joueurs et le schéma tactique idéal pour être performant. Pour le moment, c’est 100% de non-réussite. Et cette manie d’attendre la 70e minute pour faire ses changements…