La mère d’un jeune de l’OL menacée avec une arme de poing, un ancien dirigeant marseillais mis en examen ?

La mère d’un jeune de l’OL menacée avec une arme de poing, un ancien dirigeant marseillais mis en examen ?

C’est une affaire rocambolesque comme seule la cité phocéenne peut nous en offrir.

Le Journal du Dimanche révèle que Jean-Christophe Cano a été mis en examen mi-février pour exercice illégal de l’activité d’agent sportif. Et a également été placé sous le statut de témoin assisté pour "extorsion de fonds par violences en bande organisée" et "association de malfaiteurs en vue de la commission d’un crime".

Ancien défenseur de l’Olympique de Marseille, puis coordinateur sportif éphémère du club au début des années 2000, Jean-Christophe Cano se retrouve au centre d’une affaire de racket qui remonte jusqu’à Lyon.

Trois autres individus sont mis en examen, dont deux ont été incarcérés. Ils sont soupçonnés d’avoir, de près ou de loin, fait pression sur la mère d’un jeune espoir du football originaire des quartiers Nord de Marseille.

William Fekraoui, l’une des personnes mises en examen, aurait couvert la mère de cadeaux pour pouvoir un jour permettre à Jean-Christophe Cano de s’occuper des intérêts de l’adolescent. Nos confrères évoquent des vacances tous frais payés, des sommes d’argent liquide, des locations de voitures.

Suivi par l’OL, le minot qui évoluait au FC Burel avait visité les installations de Décines en 2021 en compagnie de Jean-Christophe Cano. Avant de signer en mars 2022 un accord de non-sollicitation avec le club de Jean-Michel Aulas en compagnie d'un jeune coéquipier.

Ecartés de l’équation, Cano et Fekraoui seraient soupçonnés par les enquêteurs d'avoir fait pression sur sa mère. La voiture de cette dernière a même été incendiée sur un parking de Décines en février dernier. L’Olympique Lyonnais l’aurait alors convaincue de prévenir la police.

Aux enquêteurs, elle a raconté avoir été menacée avec une arme de poing. L’homme qui serait l’un des individus interpellés en février et incarcérés depuis lui avait réclamé la somme de 30 000 euros. C'est suite à son refus que son véhicule avait été incendié.

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4 commentaires
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on est quand meme plus pres de tartarin que de monsieur brun le 20/03/2023 à 09:01

tu me fends le coeeeeeuuuur!!!

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Ex Précisions le 19/03/2023 à 17:15

Partout où il y a de la caillasse (donc surtout dans le jeu de baballe) ça traficote, ça entourloupe, ça menace, ça fauche, ça arrange...

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Gabin69009 le 19/03/2023 à 16:35

"comme seule la cité phocéenne peut nous en offrir"
C'est vrai que dans le Rhône il se passe jamais rien, renseignez vous un peu avant d'écrire des conneries, l'affaire Fiorèse par exemple ça vous parle pas ?
L'affaire Hamraoui à Paris ça vous parle pas non plus ?🤔

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Exgone69. le 19/03/2023 à 15:24

Le marché de chèvres ça rapporte !

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