Obligé d'agir face au retrait volontaire de Pathé et IDG Capital, Jean-Michel Aulas avait missionné la banque Raine pour trouver un repreneur.
Après avoir rappelé que la DNCG ne l'avait jamais enquiquiné, l'ex-président de l'OL a décidé de marteler que John Textor n'était pas son premier choix : "Je ne voulais pas vendre de cette manière-là. […] Je reçois six offres sélectionnées par la banque américaine Raine. J’en choisis une, celle de Foster Gillett (ancien président de Liverpool ndlr), qui n’est pas celle qui sera retenue. On me fait comprendre que la banque en préfère une autre. Initialement, je n’aurais pas tout vendu, peut-être même que je n’aurais pas vendu du tout. J’accepte, mais je pose comme condition que le candidat à la reprise reprenne une grande partie du capital. J’ai quelques regrets, mais je tourne la page tout en gardant un œil très attentif", déclare-t-il dans La Tribune.
Toujours actionnaire d'OL Groupe à hauteur de près de 9% via Holnest, Jean-Michel Aulas ne risque pas d'apparaitre au Groupama Stadium aux côtés de son successeur...
Ce sont des sorties gratuites et inutiles. Le seul sujet qui intéresse c'est la vérité sur le départ de Seydoux et le groupe chinois.
Signaler RépondreLe jeu de chaises musicales au conseil d'administration depuis des années, la com sur Tony Parker excessive.
Les associés se seraient ils lassés ?
Aulas aurait il manqué à son engagement de donner la main à un héritier Seydoux ??
On nous bassine avec ce club qui était sur le déclin car le top 8 était trop haut sans investissement supplémentaire.
Même en ayant léché le cul de Colomb pendant 10 ans, Aulas est resté à son niveau.
Un bon Lyonnais dans le vent, aimé des médias. Un médiocre compétiteur face aux grosses écuries européennes.
Fort avec les faibles. Faible avec les forts.
Chacun à sa place. Merci iliou pour tous ces efforts