Après son tweet ravageur et quelques sorties fugaces dans la presse, Jean-Michel Aulas prend le temps ce vendredi dans une longue interview accordée à la presse locale.
Dans le Progrès, l'ex-président de l'OL revient sur les critiques dont il fait l'objet et ceux qui l'accusent d'avoir placé le club dans la situation qui fait que la DNCG est obligée de le sanctionner.
Selon Jean-Michel Aulas, lui aurait réussi à vendre OL Reign avant le 30 juin. Ce qui l'aurait dispensé de céder des joueurs en nombre comme indiqué dans sa note à la DNCG qui évoquait des départs de Karl Toko-Ekambi à 20 millions d'euros ou de Castello Lukeba et Tino Kadewere.
Mais ce qui le chagrine le plus, c'est qu'on l'accuse sur les réseaux sociaux d'oeuvrer dans l'ombre contre l'OL. Une accusation qui serait assez relayée dans les couloirs du club.
"Dans les faits, je suis derrière mon OL et ce n'est pas parce qu'il est passé sous pavillon américain que je ne vais pas le soutenir. (...) Cette rumeur me fait mal non seulement à moi, mais touche les 550 salariés qui ont donné tout leur coeur à l'OL. (...) Laisser penser cela frôle la calomnie", s'emporte l'ancien homme fort du club, qui évoque aussi des accusations "à la limite de la diffamation et qui n'ont aucun sens car je reste actionnaire".
Jean-Michel Aulas conclut en promettant vouloir revoir John Textor et rencontrer Santiago Cucci : "J'espère que l'on organisera quelque chose car je pense que je peux apporter beaucoup à l'OL sur le plan des conseils et des orientations".
Pas sûr que cette volonté trouve écho chez les nouveaux patrons de l'Olympique Lyonnais.
On ne va pas nous parler de ce personnage tous les jours ???
Signaler RépondreOn nous distillait à l'époque que OLAND c'était 1000 emplois , encore des mensonges !!
Signaler RépondreAulas a fait une très belle opération financière et ce n'est pas grâce à l'OL directement faut-il le rappeler.
Signaler RépondreLa réalité financière derrière les parts vendus de l'OL ce sont des terrains constructibles avec de l'immobilier commercial acheté au prix du terrain agricole.
Quant à l'américain il a comprit son erreur, les taux d'endettement des opérations immobilières en cours puis du rachat qui ne lui laissent aucune marge de manoeuvre.
JMA a hissé le club tout en haut, avant de détricoter tout ce qu'il avait mis tant de temps à faire. Quel dommage. L'OL est dans une spirale négative depuis 10 ans. Il n'a aucune conseil à donner à qui que ce soit. D'autres savent parfaitement piloter une entreprise et insuffler une nouvelle dynamique.
Signaler RépondreJMA doit prendre sa retraite, chausser ses pantoufle et regarder les matchs à la télé avec Lacombe en parlant du bon vieux temps, point barre.
Pourquoi mêler les 550 salariés à sa cause ?
Signaler RépondreSon OL, il n'avait qu'à le garder au lieu de le vendre, seulement entre les mauvais résultats et les problèmes internes, il savait que toute son institution comme il dit, partait en déconfiture.
Quand il dit qu'il aime encore le club, ce n'est pas vrai, il n'aime que ce qui lui appartient et là ce n'est plus le cas.
Et il dit " car je pense que je peux apporter beaucoup à l'OL sur le plan des conseils et des orientations"."
Signaler RépondreNon mais il croit quoi ? il vit encore dans son monde ? Ouvrez donc les yeux, et profitez donc de ce que vous ont offert les ricains, une retraite paisible au lieu d'une faillite retentissante.
C'est bien qui a vendu le plus de joueurs ces 8 dernières années juste pour renflouer les caisses, au détriment de l'esprit du sport !!
Allez, j'espère que les nouveaux dirigeants sauront lui signifier une bonne fois pour toute que son temps est révolu.
Exit le tout business, place au sport !!
Courage Jean mimi, même mort il oserons dire que ton fantôme hante le stade .
Signaler RépondreIl joue la victime alors que c'est lui qui a vendu le club !!!! Plus proche de Gnafron qie de guignol
Signaler RépondreBonne journée !!!!