La commission, qui avait auditionné les représentants des deux clubs concernés, a décidé de faire rejouer l’Olympico au Vélodrome et de blanchir l'OM puisque "les incidents qui se sont produits sur la voie publique ne sont pas susceptibles d’engager la responsabilité du club organisateur".
“J’ai vu qu’il ne s’est rien passé. Je ne pensais pas que c’était possible. C’est inadmissible, mais on est professionnels et on attend la décision finale. C’est quelque chose de grave qui est arrivé. Il faut prendre des décisions fortes. Il ne faut pas attendre que quelque chose de plus grave se passe", a commenté Fabio Grosso, touché au visage lors du caillassage du bus des joueurs.
Et l’entraineur de l’OL de poursuivre : "Je n’ai rien contre Marseille, c’est un club que je connais. Mais il est arrivé quelque chose qui n’est pas normal. On doit prendre des décisions fortes, je n’ai rien d’autre à dire. Ce n’est pas normal ce qu’on a vécu".
“C’est impossible pour moi de refaire ce match comme s’il ne s’était rien passé. On pensera à ça quand on aura des décisions plus claires qui seront prises. Le club a pris une position forte, c’est important pour moi. Si on ne prend pas des décisions fortes, ça sera difficile à vivre”, a conclu l'Italien.
Pour rappel, l’Olympique lyonnais a fait appel de cette décision.