Depuis jeudi, l’idée de la création de la Super League a refait surface dans le monde du foot, suite à une décision de de la Cour de Justice de l’Union européenne considérant les monopoles de l’UEFA et de la FIFA comme abusifs. Cité par le média espagnol AS comme potentiellement intéressé pour l’intégrer, au même titre que l’OM, l’OL a tenu à se ranger derrière l’UEFA et la FIFA.
Ce jeudi soir, le club lyonnais a tenu à "affirmer et apporter tout son soutien sans réserve à l’ECA, l’UEFA et la FIFA. L’OL exprime son attachement le plus fort à la solidarité, l’équité, la méritocratie et l’ouverture, seules garanties d’un sport juste et populaire", en démentant donc tout intérêt pour intégrer la Super League.
Avec comme principaux soutiens le Real Madrid et le FC Barcelone, le projet de Super League a été relancé par cette décision de justice européenne, deux ans après un premier échec. Sur les mêmes bases qu’une ligue fermée ou semi-fermée commune dans d’autres sports avec l’Euroligue au basket ou la NFL au football américain, les porteurs du projet promettent un service attractif avec notamment une plateforme où tous les matchs de la compétition seront diffusés gratuitement, ce qui n'est pas le cas dans les autres sports cités.
Mais au même titre que l’OL, les autres clubs européens se rangent tour à tour derrière l’UEFA, qui garantit entre autres l’organisation des cinq grands championnats que l’on connaît et de la Ligue des champions.