L’OL féminin reçoit le PSG ce vendredi à 21h à l’occasion de la finale des play-offs de D1 Arkema. Après avoir largement dominé le championnat cette saison, les Lyonnaises ont 90 minutes pour aller chercher un nouveau titre de championnes de France. Le 17e de leur histoire, mais le premier sous cette formule. Pas de quoi impressionner Sonia Bompastor : "On a déjà été dans ces situations-là. On a l’expérience. On est déterminées sur le plan mental, avec beaucoup de confiance et de sérénité. On fera tout ce qui est en notre pouvoir pour aller chercher la victoire".
La coach de l’OL féminin compte bien se servir de toute son expérience pour appréhender au mieux ce choc entre deux équipes qui se connaissent bien : "On a l’habitude de jouer des matchs avec beaucoup d’enjeu. On est armées pour ça. Que ce soit l’effectif de l’OL ou le staff, en termes d’expérience, on a l’habitude et ça va nous servir pour préparer ça au mieux".
Les Lyonnaises auront l’ascendant psychologique puisqu’elles ont remporté les cinq confrontations de la saison. "Tous ces éléments sont importants. Tout ce qu'on a construit nous permet d'arriver là avec sérénité et confiance", assure Sonia Bompastor, qui a longuement analysé les matchs précédents "pour faire en sorte de donner un plan de jeu le plus clair possible aux joueuses".
Mais il faudra se méfier d’une équipe "au collectif très fort et avec des individualités qui font la différence", souligne pour sa part Vanessa Gilles. "C’est la sixième fois qu’on les joue, mais ce n’est jamais le même match. On va se concentrer sur nous-mêmes et sur ce qu’on fait de bien car on a aussi des atouts. On va essayer d’imposer notre jeu défensif et se reposer sur nos forces".
La défense aura fort à faire justement face à Tabitha Chawinga, toute juste élue meilleure joueuse de D1 aux trophées UNFP, et Marie-Antoinette Katoto. De son côté, l’OL féminin pourra compter sur le retour d’Ada Hegerberg, "une joueuse qu’il est toujours bien d’avoir sur le banc".
"Le talent individuel peut aussi faire la différence chez nous. On sera forte collectivement et on comptera sur nos individualités", a insisté Sonia Bompastor.
Ses joueuses, qui se souviennent encore de l’ambiance de la demi-finale aller de Ligue des Champions lors de laquelle elles avaient renversé Paris dans les dix dernières minutes dans un stade en fusion, pourront de nouveau compter sur l’appui des supporters. "On espère voir autant de monde pour cette finale, avec le même résultat mais peut-être moins de stress", sourit Vanessa Gilles.
Qu'est-ce que c'est cette invention pourquoi ne pas avoir fait la même chose pour les hommes ?
Signaler Répondreil y de la censure ce soir, mon post antérieure a disparu
Signaler Répondreje me souviens d'une année durant laquelle le Stade Français avait galère, terminant sixième et finissant par remporter le Bouclier de Brennus, donc méfiance sur un match tout devient possible, il va falloir que les Lyonnaises rentrent très motivées, et attention aussi à l'arbitrage.
Signaler RépondreC'est un scandale cette nouvelle formule du championnat, car sur un match tout est possible, il suffit d'un arbitre un peu spécial par exemple . Lyon a écrasé le championnat durant toute l'année et il se pourrait que les filles ramènent le challenge européen.
Signaler RépondreSi tu n'aimes pas le foot féminin, change de chaîne
Signaler RépondreTon cerveau aussi a besoin d'accélération
Signaler RépondreCertains mériterait un lavage de cerveau pour leur remettre les idées en place. Quand on aime pas on n'en parle pas, ou mieux , on change de chaîne..
Signaler RépondreLe foot féminin ca se regarde qu'en replay, pour pouvoir mettre en accéléré
Signaler RépondreALLEZ LOL
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