Lindsey Horan, Ada Hegerberg et Tabitha Chawinga, arrivée à Lyon cet été, vont tenter de remporter la prestigieuse distinction. "C’est la récompense du travail fourni sur toute une saison. Etre parmi les 30 meilleures mondiales, bravo à elles", s'est félicité Vincent Ponsot auprès de notre rédaction. Mais le directeur général de l’OL féminin regrette l’absence de Wendie Renard malgré "une saison exemplaire". "Kadidiatou Diani aussi aurait mérité d’être dans cette liste", remarque-t-il également.
Nommée dans la catégorie du meilleur entraineur ou entraineure d’un club de football féminin, Sonia Bompastor, désormais sur le banc de Chelsea, se distingue pour sa saison à l’OL féminin : "C’est largement mérité, au titre de la saison qu’elle a fait avec l’OL. Elle a remporté le championnat et elle a fait une finale de Ligue des Champions, donc c’est normal qu’elle fasse partie des nommées", assure Vincent Ponsot.
Le bras droit de Michele Kang se veut plus mesurer quand on aborde la nomination de l’OL féminin pour le titre de club de l’année : "Je n’y crois pas ! On a perdu en finale de la Ligue des Champions face au Barça. Il faut savoir être objectif. La Ligue des Champions est un de nos objectifs, on est allé en finale mais on n’a pas atteint totalement notre objectif. Donc qu’on soit dans les clubs nommés, c’est très bien et si un autre club termine numéro un, on le comprendra. A nous ensuite de redoubler d’efforts pour le devenir l’année prochaine si c’est le cas".
F.L.