Jean-Michel Aulas n'a visiblement pas apprécié la récente sortie de l'Américain sur l'antenne de RMC. Et c'est sur la même radio que l'ex-président de l'OL a réglé ses comptes à distance ce dimanche, mais sans citer l'intéressé.
Pour faire mal à Textor, JMA a décidé de choisir l'autre camp, à savoir celui de Nasser al-Khelaïfi.
"Il y a 15 ans, j’avais indiqué que c’était peut-être trop dangereux d’être trop dépendant d’un seul club. Depuis, les choses ont été bien faites. Nasser a bien réussi sur le championnat, il est président de l’ECA. J’ai occupé des fonctions importantes pendant des années. Il est aussi à l’UEFA, très proche d’Aleksander Ceferin. Il a des compétences qui permettent aujourd’hui d'assurer ce qu’il fait pour le PSG et le championnat (...) C’est lui, avec beIN Sports, qui ont sauvé le championnat français", a annoncé Jean-Michel Aulas.
Et de conclure en affirmant que "si le Qatar, le PSG et beIN n’étaient pas présents, on aurait plus de difficultés.”
John Textor, plus que jamais seul contre tous.
Mais mais mais..... Jean-MI !!!!!
Signaler Répondre"si le Qatar, le PSG et beIN n’étaient pas présents, on aurait plus de difficultés.”
Alors déjà :
1 - Qatar, PSG, beIN c'est la même chose c'est le Qatar derrière !
2 - Si ils n'avaient pas été là on aurait eu plus de difficultés :
NON NON NON et 100 FOIS NON !!!
C'est bien à cause d'eux qu'on est dans cette situation là !
Rachat du PSG par le Qatar => baisse d'intérêt du championnat avec un champion quasi systématiquement le même => baisse des droits TV
beIN qui proposait une offre de 15€ voir moins pour diffuser le championnat (à perte bien sûr !), donc difficulté pour d'autres diffuseur de proposer un tarif plus élevé par la suite
JMA nous dit bien que Nasser et le Qatar sont de partout, mais ouf tout va bien grâce à eux ???
C'est n'importe quoi, le Qatar à tué la concurrence dans notre championnat, avec un PSG qui a 4 ou 5 fois le budget du 2ème, se permet de dépenser des sommes folles lors des mercatos avec du dumping financier au travers de contrat de sponsoring surévalués.