Le club a décidé d'informer le GF38 qu'après réflexion, il ne délocaliserait pas au Stade des Alpes sa rencontre face à Reims le samedi 15 mars.
Ce devait être l'une des trois délocalisations régionales de la saison pour l'OL, qui a déjà reçu Montpellier à Bourg-en-Bresse en octobre dernier et qui entend accueillir Le Havre à Bourgoin-Jallieu le 7 mai.
Et ce, dans un souci de toucher un public plus large, et de jouer dans des stades plus importants que celui du Groupama OL Training Center. En l’occurrence, le Stade des Alpes compte 20 000 places.
Mais selon le Progrès, Lyon se privera de l'écrin isérois pour trois raisons.
Tout d'abord, des supporters grenoblois ont annoncé leur hostilité face à ce projet. La Tribune Ouest Grenoble dénonçait en décembre dernier une "journée porte ouverte dans notre stade pour que nos voisins rhodaniens se sentent comme à la maison". "Non, Grenoble ne peut se résoudre à faire partie d'un plan de développement de l'OL vers des villes proches telles que Bourg-en-Bresse et Bourgoin", poursuivaient-ils.
L'OL féminin aurait également constaté que la pelouse du Stade des Alpes n'était pas au mieux de sa forme.
Enfin, la qualification en quarts de finale de Ligue des Champions fait que l'équipe de Joe Montemurro devra jouer trois ou quatre jours après le déplacement à Grenoble. D'où la décision de finalement rester à Décines.
Entre les deux (maires), pas un pour rattraper l'autre..
Signaler Répondreon a tout ca a la maison , autant économiser le déplacement de tout le barnum
Signaler RépondreA pars les montagnes grenoble on peut pas dire qu'on si amusé
Signaler RépondreC'est vrai que Lyon avec son maire et sa faune c'est d'autant plus enviable que Grenoble..
Signaler RépondreExcellente initiative de boycotter cette ville de Grenoble, et son maire à la noix... ville tellement peu sûre, voir dangereuse... Et pourtant tellement belle avec ses montagnes en arrière plan. Quel gâchis, quel dommage.
Signaler RépondreEncore ce merveilleux monde du foot et du vivre ensemble...
Signaler RépondreÇa fait que 40 ans que ça se passe comme cela sur nos chers terrains de banlieue !