À l’aube du quart de finale retour de Ligue Europa face à Manchester United (ce soir, 21h), l’entraîneur de l’Olympique Lyonnais, Paulo Fonseca, est revenu sur sa suspension survenue après son tête contre tête avec l’arbitre d’OL-Brest (2-1), Benoît Millot, le 2 mars dernier. Pour rappel, le tacticien de 52 ans a pris neuf mois de suspension par la commission de discipline.
"Je n’ai eu aucun contact avec la tête de l’arbitre"
Dans les colonnes de L’Équipe, le technicien portugais a d’abord tenu à clarifier ses intentions au moment de l’affront avec Benoît Millot : "Je n’ai eu aucun contact avec la tête de l’arbitre… J’ai hurlé à son visage. À aucun moment, je n’ai eu l’intention d’avoir un contact, d’agresser : l’arbitre n’a pas bougé. Si je l’avais agressé, il aurait bougé, il aurait eu un mouvement de recul".
"Je veux répéter que je regrette mon comportement, j’ai été le premier à reconnaître que j’ai eu tort, et je le redis. Mais ensuite, tout le monde m’a accusé de choses qui n’étaient pas vraies", poursuit-il.
Un groupe plus uni ?
Depuis sa suspension, les Gones sont sur une excellente série de six victoires, un nul et une défaite en huit rencontres avec, en prime, une virtuelle quatrième place en Ligue 1. "Ma suspension a fortifié le groupe et sa volonté de se battre. Elle a uni le vestiaire. Et les gens du club sont plus unis aussi (…) On sent qu’on a besoin d’être plus ensemble que jamais pour gagner", a expliqué Paulo Fonseca.
Désormais, l’heure est à une potentielle qualification dans le dernier carré de la Ligue Europa. Rendez-vous ce soir, à 21h, à Old Trafford.
immonde comme comportement
Signaler RépondreIl est parfois utile d'être sévère pour montrer l'exemple , mais quand on compare le geste de Fonseca ( suspension 9 mois) et l'agression de
Signaler RépondreM'Bappé ( suspension 1 match) il y a de quoi s'interroger .
C'est à croire que les arbitres doivent être plus protégés que les joueurs.
Il est pathétique, cet individu !
Signaler RépondreDe surcroît, il essaie de ce justifier !
Gros c… , on respecte l’arbitre !